Vingt-quatre heures de la vie d'une femme est le titre d'une nouvelle de l'écrivain autrichien Stefan Zweig, publiée pour la première fois en 1927.
Au début du siècle, une petite pension sur la Riviera. Grand émoi chez les clients de l'établissement : l'épouse d'un des pensionnaires, Mme Henriette, est partie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur prend la défense de cette créature sans moralité. Et il ne trouvera comme alliée qu'une vieille dame anglaise sèche et distinguée. C'est elle qui, au cours d'une longue conversation, lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle.
|Wikipédia|
Biographie
Né en Autriche en 1881, mort à Petropolis en 1942, auteur de romans, de pièces de théâtre et de poèmes, Stefan Zweig excelle dans la nouvelle, l'essai et la biographie. Sont parus chez Grasset, entre autres, les biographies de Magellan, Marie Stuart, Marie-Antoinette et Fouché, ainsi que les deux premiers tomes de sa correspondance, couvrant les années 1897-1919, puis les années 1920-1931, et un bref roman : Le Voyage dans le passé.