Ce qu’en dit l’éditeur
1844 : le sorcier Aleister Crowley, revenu dans le temps, offre à Edgar Poe son plus fameux poème. 1927 : Blaise Cendrars et Corto Maltese passent les fêtes à Rio sur la piste d’un serial killer. 1936 : George Orwell et Indiana Jones s’allient contre le fascisme espagnol. En des temps plus incertains, on exhume des textes inédits du cerveau d’écrivains comateux, on se rend à Prague pour surmonter ses phobies littéraires ou on échange, avec le Diable, son talent contre une âme (et non l’inverse). On trouvera aussi, dans ce recueil de nouvelles fantastiques, fantasques, borderlines ou pleinement réalistes (souvent les plus étranges) : une machine à piéger les paroles, un pionnier de l’aviation, des pirates surinamiens, des dieux égyptiens et hindous, des filles peu vêtues (dont une est un robot), des explorateurs de terres lointaines, des fous de toutes sortes et quelques vrais fantômes.Nouvelles réunies par Richard Comballot, préface de Mélanie Fazi.
Biographie
Léo Henry, apparu sur terre en 1979, est un nouvelliste et scénariste de bédé français. Il a publié les recueils Les Cahiers du labyrinthe (2003), ainsi que Yama Loka terminus (2008) et Bara Yogoï (2010) co-signés avec Jacques Mucchielli. Sa nouvelle Les trois livres qu’Absalon Nathan n’écrira jamais parue chez Denoël (recueil Retour sur l’Horizon) lui a valu le Grand Prix de l’Imaginaire 2010. En bédé, on lira sa trilogie historique Sequana (2008-10) avec Stéphane Perger, ou son roman graphique en ligne Rainbow Mist (2010) avec Fred Boot.
Rouge gueule de bois est son premier roman.
Léo Henry vit à Strasbourg, d’amour, de Tanqueray et de rêves confus.
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